Lavé ma poupée, plié mes
draps
Les jours sont blancs les nuits sont là
J'ai cru que j'avais rangé mon tabac
Dans mon sac, je l'ai trouvé plus bas
Un éclat de miroir contre ta côte
En chuchotant la peur évince
Ta carapace proscite de fautes
Poupée vaudou sur toi je tends
Mes cendres ton ongle et doucement
Je prie que le feu brûle aux bon
endroits
pour que tu saches où tu as froid
Sucre fondu, aiguilles d'étain
Corps rétréci, un feu de satin
Piquer les points
Soulage du rien
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