La Joconde est de retour, une larme brille sous sa paupière
Vas au bout du monde , Il y a un désert,
Tu te penchera sur le bord et tu versera ton âme, redeviendra poussière.
Je t'attendrais, je voyage dans bateau, dans ma cabine,
Là il n'y pas d'horloge, ni de fourmis, ni de pourrie marine
Tu dois marcher le long de rue calmes, vêtu de rouge et de noir,
Tu dois marcher et respirer, dans un joli labyrinthe
Et si il te prends la nuit de vouloir trancher du rasoir
Tu sais que je voudrais bien moi, de ton sang, sans crainte
Peut-être aurons nous des chants de cris démentiels
Peut-être nous changerons nous en tigres de ténèbres
Ou nous regarderons le poudreux silence rieur du ciel
Je n'écoute plus leurs mots, je ne veux plus des tiens
La chose qui compte un peu pour rien
Est de bientôt te répendre la main.
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